Urbanisme: camp Yabassi un des petits blocs d’habitations à Douala

La rivière Mboppi

Cours d'eau dont le nid a été réduis avec le temps.Cette rivière traverse la ville de Douala.

https://www.youtube.com/watch?v=0v_8WeM1OQA

Posé au nord du quartier New-Bell dans le deuxième arrondissement de la ville de Douala. Le camp Yabassi est un bloc d’habitation de plus de quatre cent mètre carré.

Le camp Yabassi commence à droit de deux églises à la quincaillerie à Mboppi au nord et au sud  de la barrière du lycée de New-Bell à l’ancien abattoir.

« Le camp Yabassi commence et se limite au carrefour deux églises au nord  partant de là [vous descendez] vers le sud jusqu’au voisinage du lycée de New-Bell,  [vous] longez le drain Mboppi jusqu’à l’ancien abattoir… », explique Kotto Essome secrétaire à la chefferie boc I camp Yabassi.

L’occupation du camp Yabassi  par les ressortissants du département du Nkam dans le Wouri. Est le fruit d’un accord passé entre les chefs duala et Otto Lobe Dibango.

«  Le premier venu du Nkam était Otto lobe Dibango il avait de bonne relation avec les chefs traditionnelles duala », souligne Kotto Essome.

Rivière Mboppi rétrécie et malpropre à cause des activités humaines

Une rivière connue par ses odeurs, la couleur noir de ses eaux, les matières fécales qui flottent dessus comme l’huile de moteur, les pièces de moto et de voiture. Dans le passé c’était une rivière où les hommes venaient se baigner.

«  Autrefois on s’y baignait, c’était propre, il y avait du poisson avec l’occupation humaine vous voyez, aujourd’hui vous voyez », se souvient toujours Kotto Essome.

Le camp Yabassi est le carrefour de la vente des pièces et accessoire pour moto et auto.

Les autos et les motos ont élus domicile sur la chaussée. Du carrefour «  commissariat du troisième arrondissement » aux stations services. Ou de ces stations services à Ancien abattoir.

«  Il est difficile de circuler quand on prend la bretelle de Texaco Camp Yabassi vers le carrefour Nkol o Loun », explique un chauffeur de taxi.

La sécurité est relative dans ce bloc d’habitation dans lequel se trouve un camp de police appelé camp Bertaut.

«  Il y a des cas de voles ici et là, mais rien de grave » atteste une ménagère